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Déposé- Date et heure du serveur- 30/09/2010 - 11:49

Seul auteur - OUI

Catégorie - Invention

Titre - éolienne horizontale sur puits de chaleur

Description de la création - Une éolienne horizontale est placée dans l'ouverture supérieure d'un puits et est mue par un courant d'air ascendant créé par le positionnement d'une source de chaleur au fond du puits.

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Déposé- Date et heure du serveur- 06/03/2011 - 03:55

Seul auteur - OUI

Catégorie - Invention

Titre - presse motorisée/powered clamp/motorized clamp

Description de la création - Un moteur de petite taille, tel qu'un moteur électrique, et à action linéaire, rapproche ou éloigne les mâchoires l'une de l'autre à volonté, de manière à moduler la force exercée sur les pièces serrées l'une contre l'autre ou écartées l'une de l'autre.

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Déposé- Date et heure serveur- 15/08/2011 - 12:30

Seul auteur - OUI

Catégorie - Site web commercial

Titre - site Internet sur les Berna-Clamps pour la restauration d'art

Adresse web - http://berna-clamps.e-monsite.com/

Description de la création - Site internet consacré aux services que peuvent apporter  à la restauration d'art les MultiPresses et les TurboValets, ainsi qu'à la possibilité de les acquérir. Ce site est en Anglais et en Français.

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Déposé- Date et heure serveur- 25/06/2012 - 13:05



Seul auteur - OUI
Catégorie - Invention
Titre - Vers la fin bio des maladies cryptogamiques



Description de la création - L'iode apparaît être l'élément actif de l'ail frais contre les champignons et les agents infectieux. L'iodium homéopathique 1 CH, à raison de quelques millilitres (de 0,5 à 10) pour 5 litres d’eau de pluie filtrée, est de 150 à 3000 fois plus actif en pulvérisation que la teinture mère d'ail à raison de 80 ml dilué dans le même volume d'eau.

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Déposé- Date et heure serveur- 26/06/2012 - 11:01



Seul auteur - OUI
Catégorie - Invention
Titre - Piège efficace bio à fourmis



Description de la création - Les fourmis adorent ce qui est sucré, mais meurent si elles absorbent du potassium. Un récipient ouvert de forme propre à retenir une douzaine de ml de gluconate de potassium et susceptible d'être disposé au pied d'un arbre de manière à recevoir extrêmement peu d'eau lorsqu'il pleut constitue un excellent piège Bio à fourmis.

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Déposé- Date et heure serveur- 02/12/2012 - 13:17



Seul auteur - OUI
Catégorie - Invention
Titre - Procédé chirurgical mini-invasif pour rigidifier les vertèbres sans cavité latérale



Description de la création - Procédé chirurgical mini-invasif pour rigidifier les vertèbres sans cavité latérale: réalisé par ostéosynthèse des flancs de la vertèbre où, pour plus de rigidité et pour minimiser les risques de tassement de la vertèbre par vissage excessif, les vis pédiculaires sont remplacées par des chevilles faites de tiges ou tubes en fibres de carbone. Le ciment plastique très visqueux, utilisé en vertèbroplastie, frais sert pour faciliter l'enfoncement de chaque cheville dans son logement ménagé le plus verticalement possible dans un des flancs de la vertèbre, sec sert de liant entre la cheville et son logement et par enrobage de la cheville, empêche tout contact entre les parties du corps et le bisphénol A que sont susceptibles actuellement de contenir tous les composites de fibres de carbone.

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Déposé- Date et heure serveur- 26/04/2013 - 13:52



Seul auteur - OUI
Catégorie - Invention
Titre - Barrière Bio anti-fourmis



Description de la création - Une barrière pour empêcher les fourmis d’accéder à un tronc d’arbre se constitue en répandant au sol de l'huile de colza ou de soja, voire de l’huile de tournesol, suivant un anneau de quelques cm de largeur à environ 10 à 20 cm du tronc. Les cadavres de fourmis dégagent les même acides gras non saturés que ceux que contiennent ces huiles. Les fourmis vivantes supposent qu’un ou plusieurs cadavres de leurs congénères se trouvent dans la largeur de l’anneau et se gardent bien d’y pénétrer de peur d'attraper le mal qui aurait terrassé leurs congénères. Ainsi, elles sont empêchées d’accéder au tronc de l’arbre.

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Déposé- Date et heure serveur- 23/09/2013 - 05:49



Seul auteur - OUI
Catégorie - Invention
Titre - Culture Coiffée Bien Orientée (CCBO)



Description de la création - La CCBO ou culture coiffée bien orientée consiste à planter arbres ou plantes dans la zone humide situé à la base de l'humus qui se développe au pied des grands arbres à feuilles caduques, lorsque ceux-ci sont dégagés d'un côté propice à l'ensoleillement pendant une partie non négligeable de la journée. Il suffit d'écarter à la main la terre ameublie  par la faune (vers, etc…) qui se nourrit des débris (feuilles et bois mort) qui tombent des arbres et ce jusqu'à rencontrer la zone humide qui siège à la base de l'humus. arbres ou plantes croissent alors sans arrosage, sans engrais et sans traitement.

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Déposé- Date et heure serveur- 30/11/2013 - 13:28



Seul auteur - OUI
Catégorie - Invention
Titre - Réduction du Signal Minimum Détectable Radar par Coïncidence



Description de la création - La RSMDRC ou Réduction du Signal Minimum Détectable Radar par Coïncidence – donc augmentation de la portée radar - consiste à réduire drastiquement le niveau du bruit d'où émerge le signal en multipliant une séquence reçue de l'instant t à l'instant t + T retardée de Dt par une séquence reçue de l'instant t+ Dt à l'instant t + T, où T est la période radar. Les séquences peuvent être reçues successivement par le même radar ou simultanément (auquel cas Dt est nul) par deux radars différents. Si le(s) radar(s) est(sont) pointé(s) sur une cible se déplaçant extrêmement lentement vis à vis des ondes radars (cas général) dont la vitesse est de l'ordre de celle de la lumière, le signal apparaît sensiblement  au même endroit dans les deux séquences. Donc, il se multiplie par lui-même. Par contre, le bruit étant incohérent, il ne se reproduit pas à l'identique (de manière synchrone) entre les deux séquences, et fait apparaître des minimums en face de maximums bornés par la hauteur du signal. La multiplication des deux séquences a pour effet d'affaiblir considérablement le bruit (par multiplication de minimums – voire de zéros – avec les maximums) vis à vis du signal.

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Déposé- Date et heure serveur- 03/06/2014 - 13:59



Seul auteur - OUI
Catégorie - Invention
Titre - La poudre de lave comme bonificateur des fruits



Description de la création - L'agriculture pratiquée sur les pentes de volcans est connue pour produire des légumes et fruits de très bon goût. Selon un chef cuisinier de Naples, les tomates qui ont poussé sur les pentes du Vésuve seraient les meilleures d'Italie. Amender le sol des vergers et potagers par épandage de poudre de lave (comme de la pouzzolane) vise à faire bénéficier un terrain loin des volcans de ce qui se produit sur les pentes de volcans.

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Déposé- Date et heure serveur- 04/06/2014 - 13:44



Seul auteur - OUI
Catégorie - Invention
Titre - Isolation d'un bâtiment du rayonnement par éclairage



Description de la création - L'isolation des toits et des murs est actuellement réalisée uniquement contre le transfert de chaleur (entrées et fuites) par conduction. Or la plus grande part du transfert de chaleur vers et hors de l'intérieur des bâtiments se fait par rayonnement. Èclairer intensément en blanc froid (les LED conviennent pour cela) la surface extérieure d'un bâtiment a pour effet de transformer le bâtiment en corps blanc sans apport de chaleur parasite). Un corps blanc par essence renvoie tout le rayonnement calorifique donc isole de celui-ci. De nuit, pour empêcher le rayonnement de s'échapper du bâtiment, un éclairage adapté doit au contraire transformer le bâtiment en corps noir.

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Déposé- Date et heure serveur- 18/08/2014 - 13:38



Seul auteur - OUI
Catégorie - Invention
Titre - Augmentation drastique de la portée d'un téléscope



Description de la création - Procédé qui consiste à balayer électroniquement ou analogiquement, ligne par ligne ou colonne par colonne, la fenêtre de visée d'un télescope, suivant un timing et en enregistrer le signal, puis à recommencer suivant le même timing. Cela donne 2 séquences successives. Le signal suivant le timing de la 1ère séquence est retardé de la durée de la séquence. Il est alors multiplié par le signal qui apparaît lors de la 2ème séquence avec le même décalage de temps par rapport au début de la séquence, par coïncidence. Entre la 1ère et la 2ème séquences, le ou les objets célestes compris dans la fenêtre de visée n'ont pratiquement pas bougé et le spectre du signal les représentant se situera avec le même décalage en temps vis à vis du début de chaque séquence. Donc ce spectre se multipliera sensiblement par lui-même. Il n'en va pas de même pour l'intensité du bruit qui est incohérent dans le temps. A une intensité non nulle dans la 1ère séquence peut parfaitement correspondre une intensité nulle dans la 2ème et inversement, d'où de nombreuses multiplications par zéro. Le rapport signal sur bruit des objets célestes devrait ressortir considérablement renforcé, d'où la possibilité de découvrir de nouveaux objets et surtout de voir mieux la surface des objets déjà découverts.

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Déposé - Date et heure serveur - 11/05/2015 14:36



Seul auteur - OUI
Catégorie - Invention
Titre - Guérir l'arthrose par ultrasons



Description de la création - L'arthrose fait souffrir la majorité des personnes âgées dans le monde. Jusqu'ici aucun remède satisfaisant ne lui a été apporté. Elle se caractérise par un dépôt constitué par un aggloméré minéral, de couleur blanche sur les radios, entre les extrémités des os qui concourent aux articulations. Ce dépôt rend difficile et douloureux le fonctionnement de celles-ci. Certains dentistes détartrent les dents de leurs clients avec les ultrasons. Les urologues détruisent les calculs rénaux présent dans la vessie avec les ultrasons. Le tartre des dents et les calculs rénaux sont des agglomérés minéraux. Même si apparemment personne n'y a songé jusqu'ici, il paraît logique de tenter d'éliminer le dépôt qui rend difficile et douloureux le fonctionnement des articulations par ultrasons. Une purge permettra d'éliminer les débris causés.

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Déposé - Date et heure serveur - 05/07/2015 12:01



Seul auteur - OUI
Catégorie - Invention
Titre - Amélioration importante et à peu de frais de la définition des images fournies par les appareils d'imagerie médicale du type radiographie, d'échographie, d'ostéodensitomètrie ou de scintigraphie.



Description de la création - Procédé qui consiste 1) à renouveler à l'identique le balayage opéré lors de l'exploration d'une région corporelle par un appareil d'imagerie médicale du type radiographie, d'échographie, d'ostéodensitomètrie ou de scintigraphie, 2) à retarder (par exemple en le mémorisant) l'enregistrement dans le temps du signal obtenu lors du premier balayage du délai qui sépare les débuts des deux balayages, 3) à multiplier (par exemple par coïncidence), point à point, l'amplitude de l'enregistrement ainsi retardé par l'amplitude de l'enregistrement dans le temps du signal obtenu lors du second balayage. Entre le 1er et le 2ème enregistrements, le ou les éléments corporels (os, organes) observés dans le champ d'exploration sont balayés au même instant par rapport au début de l'enregistrement et le signal les représentant sensiblement avec la même amplitude se situera avec le même décalage en temps vis à vis du début de chaque enregistrement. Donc ce signal se multipliera sensiblement par lui-même, ce qui implique un résultat très différent de zéro. Par contre, les appareils d'imagerie médicale ne détectent rien sinon du bruit dans les espaces inoccupés par ces éléments corporels (y compris dans les espaces découpés par les contours). Or l'amplitude du bruit est incohérente dans le temps. Pour le même décalage en temps vis à vis du début de l'enregistrement, une amplitude de bruit proche du maximum du signal dans le 1er enregistrement peut parfaitement correspondre à une amplitude proche de zéro dans le 2ème enregistrement et inversement, d'où de nombreuses multiplications par zéro. Le rapport signal sur bruit des éléments corporels devrait ressortir considérablement renforcé, d'où une bien meilleure définition des images. Il est clair que ce procédé pourrait s'étendre à 3 ou plus enregistrements successifs dans le temps du signal obtenu lors du balayage du champ d'exploration, avec la perspective de renforcer encore plus le signal sur bruit des éléments corporels, donc de parvenir de manière très économique (puisqu'il implique de répéter une exploration de base) à une définition des images égale ou supérieure à celle que procurent les explorations sophistiquées des scanners ou des IRMs.

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Déposé - Date et heure serveur - 27/07/2015 13:15



Seul auteur - OUI
Catégorie - Invention
Titre - Amélioration importante et à peu de frais du contraste des images que donnent les télescopes et, partant de là, augmentation de la portée de ceux-ci. Mise à jour.



Description de la création - Procédé qui consiste: 1) à renouveler à l'identique le balayage de la fenêtre de visée d'un télescope, 2) à enregistrer dans le temps le signal obtenu durant chacun de ces balayages, 3) à retarder (par exemple en le mémorisant) l'enregistrement réalisé lors du premier balayage du délai qui sépare les débuts des deux balayages, ce qui a pour effet d'aligner le début de l'enregistrement ainsi retardé sur le début D de l'enregistrement réalisé lors du second balayage, 4) à multiplier (par exemple par coïncidence), pour chaque instant compté à partir du début D, l'amplitude du signal contenue dans l'enregistrement ainsi retardé par l'amplitude du signal contenue dans l'enregistrement réalisé lors du second balayage. Entre le 1er et le 2ème enregistrements, le ou les objets célestes observés dans la fenêtre de visée n'ont pratiquement pas bougé, donc sont balayés au même instant par rapport au début de l'enregistrement et le signal les représentant sensiblement avec la même amplitude se situera avec le même décalage en temps vis à vis du début de chaque enregistrement. Donc ce signal se multipliera sensiblement par lui-même, ce qui implique un résultat très différent de zéro. Par contre, un télescope ne détecte rien sinon du bruit dans les espaces inoccupés par le ou les objets célestes. Or l'amplitude du bruit est incohérente dans le temps. Pour le même décalage en temps vis à vis du début de l'enregistrement, une amplitude de bruit proche du maximum du signal dans le 1er enregistrement peut parfaitement correspondre à une amplitude proche de zéro dans le 2ème enregistrement et inversement, d'où de nombreuses multiplications par zéro qui donnent chacune évidemment zéro. Le rapport signal sur bruit des objets célestes devrait ressortir considérablement renforcé, d'où un bien meilleur contraste des images.

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Déposé - Date et heure serveur - 09/08/2015 11:52



Seul auteur - OUI
Catégorie - Invention
Titre - Mise à jour pour "Amélioration importante et à peu de frais du contraste des images fournies par les appareils standards d'imagerie médicale"



Description de la création - Amélioration importante et à peu de frais du contraste des images fournies par les appareils d'imagerie médicale du type radiographie, d'échographie, d'ostéodensitomètrie ou de scintigraphie. Philippe Berna(1), Ingénieur des Télécommunications de l'École de l'Air (promotion 1958), Docteur es Sciences Physiques, Chartered Mathematician de l'Institut Britannique des Mathématiques et de leurs Applications (IMA). Procédé qui consiste à: 1) renouveler à l'identique le balayage opéré lors de l'exploration d'une région corporelle, que ce soit de face ou de profil, par un appareil d'imagerie médicale du type radiographie, d'échographie, d'ostéodensitomètrie ou de scintigraphie, 2) enregistrer dans le temps le signal détecté durant chaque balayage, 3) retarder (par exemple en le mémorisant) l'enregistrement réalisé lors du premier balayage de l'écart de temps qui sépare les débuts des deux balayages, ce qui a pour effet d'aligner le début de l'enregistrement ainsi retardé sur le début D de l'enregistrement réalisé lors du second balayage, 4) multiplier (par exemple par coïncidence), pour chaque instant compté à partir du début D, l'amplitude du signal dans l'enregistrement ainsi retardé par l'amplitude du signal dans l'enregistrement réalisé lors du second balayage. Sous réserve de discrétiser, suivant le même maillage, le profil du signal détecté durant chaque balayage de manière à disposer du même nombre fini de valeurs de signal pour les deux enregistrements, ce qui permet de confronter ceux-ci, les trois dernières étapes de ce procédé peuvent être réalisées par ordinateur. En effet, les ordinateurs très puissants –sur les plans rapidité et taille mémoire- et pourtant peu encombrants et légers dont on dispose actuellement peuvent enregistrer, mémoriser et multiplier, mais exigent, en tant qu'ordinateurs numériques, que le nombre de valeurs à traiter soit fini, ce nombre pouvant par ailleurs être extrêmement élevé (ce que donnerait un maillage fin). Entre le 1er et le 2ème enregistrements, le ou les éléments corporels (os, organes) observés dans le champ d'exploration sont balayés au même instant par rapport au début de chaque enregistrement et le signal les représentant sensiblement avec la même amplitude se situera avec le même décalage en temps vis à vis du début de chaque enregistrement. Donc ce signal se multipliera sensiblement par lui-même, ce qui implique un résultat très différent de zéro. Par contre, les appareils d'imagerie médicale ne détectent rien sinon du bruit dans les espaces inoccupés par ces éléments corporels (y compris dans les zones d'espaces inoccupés qui sont délimitées par les contours des éléments corporels). Or l'amplitude du bruit est incohérente dans le temps. Pour un même décalage en temps vis à vis du début D, à une amplitude de bruit proche du maximum du signal dans le 1er enregistrement retardé peut parfaitement correspondre une amplitude proche de zéro dans le 2ème enregistrement et inversement, d'où de nombreuses multiplications par zéro qui donnent chacune évidemment zéro. Le rapport signal sur bruit des éléments corporels devrait ressortir considérablement renforcé, d'où un bien meilleur contraste des images. Cependant, si à ce niveau la distribution des composants des éléments corporels, y compris pour les composants jusqu'ici noyés dans le bruit, ressort plus clairement, la définition des images est distordue car l'amplitude de leur signal a été multipliée par elle-même. Il convient donc de rajouter au procédé énoncé plus haut deux étapes supplémentaires également réalisables par ordinateur numérique sous la même réserve de discrétisation: 5) pour chaque instant compté à partir du début D, remplacer par 1 dans le résultat de l'étape 4 toutes les valeurs obtenues par la multiplication d'amplitudes sensiblement égales, par exemple à 6% près (une autre valeur que 6% pourra éventuellement être choisie), et toutes les autres valeurs par 0, 6) multiplier, toujours pour chaque instant compté à partir du début D, l'amplitude du signal dans le 1er enregistrement ou dans le 2ème enregistrement par le nombre (qui vaut 1 ou 0) obtenu dans l'étape 5. Il est clair que le résultat de l'étape 6 respecte l'aspect des éléments corporels et le fait ressortir nettement du bruit qui devrait avoir été presque totalement écrasé par le procédé. Il est intelligible que ce procédé pourrait s'étendre à 3 ou plus enregistrements successifs dans le temps du signal obtenu lors du balayage du champ d'exploration, avec la perspective de renforcer encore plus le signal sur bruit des images des éléments corporels, donc de parvenir de manière très économique (puisqu'il implique de répéter une exploration de base) à un contraste des images égal ou supérieur à celui que procurent les explorations sophistiquées des scanners ou des IRMs. Cela implique de faire des économies substantielles, tant sur le temps (ce qui garantit la qualité, car plus court est un examen, plus facilement un patient algique peut s'empêcher de bouger pendant son déroulement) que sur l'irradiation (dans les cas de la radiographie et de l'ostéodensitomètrie) et sur le matériel. Il est clair en particulier qu'opérer 2 ou 3 balayages successifs d'une région corporelle en radiographie et tenter d'en gommer le bruit par multiplication est beaucoup plus court, beaucoup moins irradiant et plus économique en matériel, puisqu'il se réduit à un simple appareil de radiographie et un mini-ordinateur numérique, qu'un passage au scanner, alors qu'il en résulte des images aussi faciles à interpréter que celles que procurent les radiographies usuelles. (1) Mas Liotard, Les Brousses, 30410 Molières-sur-Cèze, France – phberna@free.fr

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Déposé - Date et heure serveur - 30/08/2015 13:50



Seul auteur - OUI
Catégorie - Publication
Titre - Les secrets du BIO absolu



Description de la création - Le Bio absolu, c'est le Bio qui bannit tout produit des multinationales de l'industrie chimique des phytosanitaires (pour faire court, les MICPs), tels que le malathion, le mancozebe et même la roténone et la bouillie bordelaise considérées à tort comme armes Bio, ou encore le souffre et qui recourt à des produits simples à mettre en œuvre dont l'innocuité pour les humains est très proche de 100% (sauf cas rare d'allergie à un des composants) et pour l'environnement et dont l'efficacité contre les maladies identifiées les plus fréquentes des arbres fruitiers et de leurs fruits, dont le terrible carpocapse, est très proche de 100% (sauf fruits et feuilles oubliées). Autrement dit, le Bio absolu est absolu dans son innocuité et absolu dans son efficacité tout en étant simple à mettre en œuvre. En fait le Bio absolu, c'est l'étape d'après le Bio actuel, ce dernier devant se contenter d'un "à peu près" car aucun des produits qui se trouvent sur les rayons du commerce des phytosanitaires est à la fois 100% inoffensif pour les humains et pour l'environnement et 100% efficace: - la fameuse bouillie bordelaise, considérée à tort comme arme Bio, est nocive aux humains et aux vers de terre par le cuivre qu'elle accumule dans le sol et est seulement efficace à titre préventif contre certaines maladies cryptogamiques, voir en particulier sur Internet l'article de Wikipédia consacré à la bouillie bordelaise; - la roténone dont l'utilisation est soupçonnée de favoriser l'apparition de la maladie de Parkinson et qui est toxique aux poissons (voir sur Internet en particulier l'article de Wikipédia consacré à la roténone); - le souffre qui présente de nombreux effets indésirables à la fois sur la santé et sur l'environnement (pour plus de détails, voir sur Internet la liste des méfaits du souffre dressée par le spécialiste du traitement de l'eau Lenntech BV, sur le site www.lenntech.fr) et qui nécessite entre autres de porter un masque pendant son saupoudrage car il irrite les poumons et les yeux et a une activité résiduelle limitée à une seule semaine (pour plus de détails, voir sur Internet l'article posté par www.gerbaud.com). Par ailleurs, les recettes hors commerce, du type emploi d'insectes entomophages (comme les coccinelles) ou cultures associées (comme planter de l'ail au pied d'un arbre pour le protéger de maladies cryptogamiques) ont toutes une efficacité assez limitée et sont souvent laborieuses à mettre en œuvre (pour plus de détails, voir sur Internet l'excellent article de Wikipédia consacré à l'agriculture biologique). Les pratiquants de l'agriculture biologique ont eu jusqu'ici beaucoup de mérite. Pour parler comme les informaticiens, le Bio absolu c'est le Bio 3.0, le Bio 1.0 étant l'agriculture (hors écobuage) avant l'arrivée des pesticides et des herbicides et le Bio 2.0 le Bio actuel. Le Bio absolu, c'est une voie absolument révolutionnaire. Ainsi avec celle-ci, le raisin véritablement bio, c'est possible. Cerise sur le gâteau, il se trouve que les produits utilisés pour le Bio absolu sont très bon marché. Cet opuscule s'adresse donc aux particuliers qui désirent apporter des soins efficaces à leurs arbres fruitiers et à leurs fruits sans être obligé de porter des gants, un masque, une combinaison, des bottes pour manipuler les produits de soins et sans risque d'empoisonner les fruits et de s'empoisonner eux-mêmes, particuliers donc qui veulent traiter sans brutalité la nature et qui refusent par cohérence de planter des OGMs dont le moyen de défense contre l'attaque des prédateurs est de générer des pesticides dangereux pour les humains et qui refusent également de répandre du round-up pour désherber alors que verser de l'eau bouillante suffit sans créer de danger (une fois l'eau refroidie) pour les humains et l'environnement à court et long termes.

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Déposé - Date et heure serveur - 01/09/2015 14:29



Seul auteur - OUI
Catégorie - Publication
Titre - AUGMENTATION, A PEU DE FRAIS, DE LA PORTÉE RADAR ET CORRÉLATIVEMENT DE SA SENSIBILITÉ (POUR LA DÉTECTION DES DRONES ET DES AVIONS FURTIFS) PAR COÏNCIDENCE.



Description de la création - Une manière radicale d'amplifier la sensibilité de la réception d'un radar, en vue d'augmenter sa portée et de lui permettre de détecter des cibles à faible écho, comme les drones et les avions furtifs, a été envisagée: écraser le bruit par rapport au signal en provenance de la cible (ou des cibles) en jouant sur le fait que le bruit est incohérent. Une cible est détectée par un radar si le signal reçu en provenance de la cible émerge du bruit. Dire que le bruit est incohérent revient à dire que le signal qu'il génère ne se répète pas identiquement à lui-même dans le temps et dans l'espace. Cela conduit à concevoir le processus suivant: 1) enregistrer dans le temps le signal reçu durant chacune des phases de réception, 2) retarder (par exemple en le mémorisant) l'enregistrement réalisé durant chaque phase de réception du délai qui sépare les débuts de cette phase et de la phase de réception suivante, ce qui a pour effet d'aligner le début de l'enregistrement ainsi retardé sur le début D de l'enregistrement réalisé durant la phase de réception suivante, 3) multiplier (par exemple par coïncidence), à chaque instant compté à partir du début D, l'amplitude du signal dans l'enregistrement ainsi retardé par l'amplitude du signal dans l'enregistrement réalisé durant la phase de réception suivante. Il est à noter que ces trois étapes peuvent être réalisées par ordinateur numérique, sous réserve de discrétiser les phases de réception suivant le même maillage, de manière à disposer d'un nombre fini de valeurs de signal. Les ordinateurs très rapides et pourtant peu encombrants et légers, dont on dispose actuellement sont des ordinateurs numériques, qui contrairement aux ordinateurs analogiques relativement lents, dont on disposait auparavant, ne peuvent pas traiter un ensemble continu de valeurs, tel qu'une courbe, mais seulement un nombre fini de valeurs, même si ce nombre peut se trouver extrêmement élevé. Discrétiser signifie que chaque phase de réception est découpée sur toute sa durée en intervalles généralement de durée égale appelés "pas" ou "mailles". La valeur de signal qui est alors associée à chaque pas est en fait la moyenne de la véritable valeur du signal sur ce pas. La représentation du signal, autrement dit sa numérisation, sur la phase de réception discrétisée est évidemment d'autant moins approximative que le pas est plus fin. Étant donné que la vitesse de propagation des ondes électromagnétiques dans le milieu d'exploration du radar est de l'ordre de grandeur de la vitesse de la lumière, soit 300 000km/s, donc est largement supérieure à celle des cibles telles qu'un drone, un avion, qu'il soit furtif ou non, une fusée ou un satellite, entre l'enregistrement retardé et l'enregistrement réalisé durant la phase de réception suivante, le signal renvoyé par chaque cible – dénommé ici signature de la cible - se positionnera quasiment au même instant (ou les signatures des cibles se positionneront quasiment aux mêmes instants). Autrement dit, le glissement en temps des signatures des cibles du 1er au 2ème enregistrements sera quasiment négligeable. Donc l'amplitude de la signature de chaque cible se multipliera sensiblement par elle-même, ce qui implique un résultat très différent de zéro. Par contre, l'amplitude du bruit est incohérente dans le temps. Pour le même décalage en temps vis à vis du début de chaque enregistrement, une amplitude de bruit proche du maximum du signal dans le 1er enregistrement peut parfaitement correspondre à une amplitude proche de zéro dans le 2ème enregistrement et inversement, d'où de nombreuses multiplications par zéro qui donnent chacune évidemment zéro. Le rapport signal sur bruit des signatures des cibles devrait ressortir considérablement renforcé, d'où une bien meilleure sensibilité de la réception radar. Cependant, si à ce niveau la distribution des signatures des cibles y compris pour celles qui étaient jusqu'ici noyées dans le bruit, ressort plus clairement, la définition des images est distordue car l'amplitude de leur signal a été multipliée par elle-même. Il convient donc de rajouter au procédé énoncé plus haut deux étapes supplémentaires également réalisables par ordinateur numérique sous la même réserve de discrétisation: 5) pour chaque instant compté à partir du début D, remplacer par 1 dans le résultat de l'étape 4 toutes les valeurs obtenues par la multiplication d'amplitudes sensiblement égales, par exemple à 6% près (une autre valeur que 6% pourra éventuellement être choisie), et toutes les autres valeurs par 0, 6) multiplier, toujours pour chaque instant compté à partir du début D, l'amplitude du signal dans le 1er enregistrement ou dans le 2ème enregistrement par le nombre (qui vaut 1 ou 0) obtenu dans l'étape 5. Il est clair que le résultat de l'étape 6 respecte l'aspect des signatures des cibles et le fait ressortir nettement du bruit qui devrait avoir été presque totalement écrasé par le procédé.

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Déposé - Date et heure serveur - 19/09/2015 12:00



Seul auteur - OUI
Catégorie - Invention
Titre - Nouvelle mise à jour de l' "Amélioration importante et à peu de frais du contraste des images fournies par les appareils d'imagerie médicale du type radiographie, d'échographie, d'ostéodensitomètrie ou de scintigraphie."



Description de la création - Amélioration importante et à peu de frais du contraste des images fournies par les appareils d'imagerie médicale du type radiographie, d'échographie, d'ostéodensitomètrie ou de scintigraphie. Philippe Berna(1), Ingénieur des Télécommunications de l'École de l'Air (promotion 1958), Docteur es Sciences Physiques, Chartered Mathematician de l'Institut Britannique des Mathématiques et de leurs Applications (IMA). Procédé qui consiste à: 1) renouveler à l'identique le balayage opéré lors de l'exploration d'une région corporelle, que ce soit de face ou de profil, par un appareil d'imagerie médicale du type radiographie, d'échographie, d'ostéodensitomètrie ou de scintigraphie, 2) enregistrer dans le temps le signal détecté durant chaque balayage, 3) retarder (par exemple en le mémorisant) l'enregistrement réalisé lors du premier balayage de l'écart de temps qui sépare les débuts des deux balayages, ce qui a pour effet d'aligner le début de l'enregistrement ainsi retardé sur le début D de l'enregistrement réalisé lors du second balayage, 4) multiplier (par exemple par coïncidence), pour chaque instant compté à partir du début D, l'amplitude du signal dans l'enregistrement ainsi retardé par l'amplitude du signal dans l'enregistrement réalisé lors du second balayage. Sous réserve de discrétiser, suivant le même maillage, le profil du signal détecté durant chaque balayage de manière à disposer du même nombre fini de valeurs de signal pour les deux enregistrements, ce qui permet de confronter ceux-ci, les trois dernières étapes de ce procédé peuvent être réalisées par ordinateur. En effet, les ordinateurs très puissants –sur les plans rapidité et taille mémoire- et pourtant peu encombrants et légers dont on dispose actuellement peuvent enregistrer, mémoriser et multiplier, mais exigent, en tant qu'ordinateurs numériques, que le nombre de valeurs à traiter soit fini, ce nombre pouvant par ailleurs être extrêmement élevé (ce que donnerait un maillage fin). Entre le 1er et le 2ème enregistrements, le ou les éléments corporels (os, organes) observés dans le champ d'exploration sont balayés au même instant par rapport au début de chaque enregistrement et le signal les représentant sensiblement avec la même amplitude se situera avec le même décalage en temps vis à vis du début de chaque enregistrement. Donc ce signal se multipliera sensiblement par lui-même, ce qui implique un résultat très différent de zéro. Par contre, les appareils d'imagerie médicale ne détectent rien sinon du bruit dans les espaces inoccupés par ces éléments corporels (y compris dans les zones d'espaces inoccupés qui sont délimitées par les contours des éléments corporels). Or l'amplitude du bruit est incohérente dans le temps. Pour un même décalage en temps vis à vis du début D, à une amplitude de bruit proche du maximum du signal dans le 1er enregistrement retardé peut parfaitement correspondre une amplitude proche de zéro dans le 2ème enregistrement et inversement, d'où de nombreuses multiplications par zéro qui donnent chacune évidemment zéro. Le rapport signal sur bruit des éléments corporels devrait ressortir considérablement renforcé, d'où un bien meilleur contraste des images. Cependant, si à ce niveau la distribution des composants des éléments corporels, y compris pour les composants jusqu'ici noyés dans le bruit, ressort plus clairement, la définition des images est distordue car l'amplitude de leur signal a été multipliée par elle-même. C'est probablement pour cette raison que jusqu'ici l'idée même de multiplier deux ou plus enregistrements du signal après synchronisation a été écartée. C'est ce dont témoigne le très complet état de l'art qu'a dressé le professeur émérite Tom O'Haver du Département de Chimie et de Biochimie de l'Université of Maryland situé à College Park, à propos des logiciels MatLab et Octave, dans sa mise à jour du 18 Août 2015. L'addition de tels enregistrements a été envisagée (voir en particulier page 7 de cet état de l'art), mais pas leur multiplication. Il convient donc de rajouter au procédé énoncé plus haut deux étapes supplémentaires également réalisables par ordinateur numérique sous la même réserve de discrétisation: 5) pour chaque instant compté à partir du début D, remplacer par 1 dans le résultat de l'étape 4 toutes les valeurs obtenues par la multiplication d'amplitudes sensiblement égales, par exemple à 6% près (une autre valeur que 6% pourra éventuellement être choisie), et toutes les autres valeurs par 0, 6) multiplier, toujours pour chaque instant compté à partir du début D, l'amplitude du signal dans le 1er enregistrement ou dans le 2ème enregistrement par le nombre (qui vaut 1 ou 0) obtenu dans l'étape 5. Il est clair que le résultat de l'étape 6 respecte l'aspect des éléments corporels et le fait ressortir nettement du bruit qui devrait avoir été presque totalement écrasé par le procédé. Il peut être envisagé de fusionner l'étape 4 avec les étapes 5 et 6. L'étape 4 devient alors la suivante: 4 bis) conserver la valeur du signal dans le premier enregistrement ou dans le second enregistrement pour chaque instant compté à partir du début D où les amplitudes de signal entre ces enregistrements diffèrent de moins de 6% (une autre valeur que 6% pourra éventuellement être choisie) et attribuer la valeur 0 partout ailleurs dans l'enregistrement choisi pour être modifié. Le langage informatique booléen est évidemment approprié pour traiter cette étape sur ordinateur numérique. Cette étape 4 bis permet d'aboutir directement au résultat de l'étape 6 précédente. Il est intelligible que ce procédé pourrait s'étendre à 3 ou plus enregistrements successifs dans le temps du signal obtenu lors du balayage du champ d'exploration, avec la perspective de renforcer encore plus le signal sur bruit des images des éléments corporels, donc de parvenir de manière très économique (puisqu'il implique de répéter une exploration de base) à un contraste des images égal ou supérieur à celui que procurent les explorations sophistiquées des scanners ou des IRMs. Cela implique de faire des économies substantielles, tant sur le temps (ce qui garantit la qualité, car plus court est un examen, plus facilement un patient algique peut s'empêcher de bouger pendant son déroulement) que sur l'irradiation (dans les cas de la radiographie et de l'ostéodensitomètrie) et sur le matériel. Il est clair en particulier qu'opérer 2 ou 3 balayages successifs d'une région corporelle en radiographie et tenter d'en gommer le bruit par multiplication est beaucoup plus court, beaucoup moins irradiant et plus économique en matériel, puisqu'il se réduit à un simple appareil de radiographie avec son mini-ordinateur numérique et un logiciel pour mettre en œuvre le procédé décrit précédemment, qu'un passage au scanner, alors qu'il en résulte des images aussi faciles à interpréter que celles que procurent les radiographies usuelles. (1) Mas Liotard, Les Brousses, 30410 Molières-sur-Cèze, France – phberna@free.fr